Elle est née en Égypte il y a… fort longtemps !

Comme de nombreuses formes d’art, il est difficile de dater précisément sa naissance, mais certaines théories la font remonter à l’Égypte antique dans une société matriarcale où le pouvoir d’enfantement de la femme était sacralisé et où la danse faisait partie des rites de fertilité. Comme de nombreuses danses, elle a été modifiée et enrichie par les diverses vagues d’immigration et notamment par le passage des Roms en Égypte.

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Danse féminine par excellence, la danse orientale aide à s’épanouir en tant que femme, et prend soin du corps féminin (renforcement musculaire global et assouplissement). Ce n’est pas une danse de séduction mais l’expression de la féminité. Et il n’y en a pas qu’une, chaque femme a la sienne et sa façon de l’exprimer. Une femme qui habite chaque partie de son corps brille, et c’est cette flamme que nous cherchons à allumer dans chacune de nos élèves.

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C’est aussi une danse qui, par ses multiples techniques corporelles et son travail d’isolation (accents, vibrations, ondulations), traduit avec précision les humeurs et émotions des femmes.

Enfin, c’est un moment où la danse et la musique ne font qu’un : le corps de la danseuse devient tour à tour chacun des instruments qui jouent la musique. Un moment l’accordéon, et puis la tabla, un autre le qanoun ou encore le violon ou le oud.

Cette danse est particulièrement indissociable de la musique sur laquelle on la danse, et c’est ce qui fait sa grande beauté et sa richesse. 

 

Le cours est ouvert à toutes les femmes, de tout âge et de tout niveau.​

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L'année de cours se termine par une représentation en fin d'année, précieuse pour les élèves puisque c'est l'occasion de valoriser les acquis et de se produire devant un public. Il n'y a bien sûr aucune obligation de participer à ce spectacle (même si le projet est fortement conseillé), et le cours n'est jamais totalement dédié à l'apprentissage d'une chorégraphie.